« Ce que je retiens en premier lieu de mon passage à Quaregnon, c’est l’ambiance qui régnait dans ce que tout le monde appelait le Chaudron borain, car nous jouions toujours devant un bon millier de personnes en dépit des défaites. Lorsque j’ai pris le relais d’André Barbieux, je n’ai pu empêcher la descente, mais avec l’aide de Thierry Wilquin et de Guy Lheureux, nous avons reconstruit une équipe bien balancée avec un trio d’enfer composé de Steve Ibens, Alain Hockins, et Christian Dupont qui sont venus épauler les Verdun, Pierzchala et consorts… »